DE LA PRISON À LA GUÉRISON : UN PARCOURS ATYPIQUE

​

Diana est une femme habitée par la force tranquille de celles qui ont appris à transformer leurs blessures en or et en lumière. 

Sa vie, souvent brutale, l’a poussée à se dépouiller des rôles attendus, pour embrasser enfin sa véritable nature : celle d’une passeuse, d’une messagère de l’invisible, d’une guérisseuse de l’âme.

Diana ne se conforme pas à l’image attendue d’une praticienne spirituelle. C’est une femme libre et hors des circuits commerciaux, hors des grandes promesses. Elle incarne sa pratique au lieu de la vendre.

Quand elle t’accueille, elle te regarde jusqu’au fond du cœur.

Et ce qu’elle donne est entier.

Pas apprêté. Pas marketé. Juste vrai.

Petite fille déjà, elle voyait ce que d’autres ne voyaient pas. Des présences, des ombres, des émotions qui n’étaient pas les siennes. On lui disait que c’était son imagination alors elle a appris à se taire mais n'a rien oublié. Elle vit très jeune entre les mondes : celui du concret, et celui du subtil. Cette dualité devient sa fondation.

Son enfance est également marquée par une forte empathie (dès son plus jeune âge, elle croise régulièrement des personnes ou des animaux souffrants, vers lesquels elle se dirige spontanément pour aider ou soulager), et par un rapport très fort à la nature et aux animaux sauvages.

Elle fait des études à Metz, Nantes, Strasbourg et Agen, puis, titulaire d’un bac +5 en sciences humaines, elle choisit un métier difficile, celui de conseillère pénitentiaire d’insertion et de probation. Pendant plus de 20 ans, en prison, elle accompagne l’ombre humaine, la rupture, les vies fracturées. Ce choix n’est pas un hasard : elle reconnaît dans ces existences cabossées les échos d’un monde intérieur qu’elle connaît bien. Elle travaille avec compassion et déjà avec intuition, mais en silence, sans oser encore se révéler totalement à elle-même.

Le 27 février 2020 marque un tournant dans sa vie. Elle perçoit en clairaudience un avertissement sur la santé de son père : « Profite de son anniversaire, il n’y en aura pas d’autre… ». Et en effet, son père décède brutalement en décembre 2020 et sa médiumnité, longtemps refoulée, revient avec intensité. Elle comprend alors que cette dernière n’est pas une malédiction, mais un appel pressant. Elle quitte la fonction publique, sans filet de sécurité, pour écouter pleinement cette voix intérieure et s’installe à son compte toujours pour accompagner, écouter et soigner, mais cette fois-ci, en étant libre d’être véritablement elle-même. Parallèlement, elle écrit et partage ses textes sur les réseaux sociaux. Très rapidement, ceux-ci commencent à voyager.

Diana n’est pas une figure ésotérique flottante. Elle est terre à terre et céleste à la fois. Elle ne promet pas de miracles, mais une présence sincère, un espace sûr, où la douleur peut être vue et transmutée. Elle travaille avec le Lahochi 13ème octave, l’EFT, son magnétisme spirituel, ses intuitions, ses expériences de vie, et aussi avec ce qui ne s’apprend pas : la capacité d’aimer sans condition.

Ayant rejeté la foi religieuse dans son adolescence, elle s’est ravivée spirituellement depuis le départ de son père en 2020, grâce à ses contacts avec les défunts et à ses pratiques énergétiques, retrouvant une foi profonde, libre de tout dogme religieux classique.

Sa spiritualité est authentique et elle est respectée pour sa posture humble mais affirmée. Elle ne cherche pas à convaincre. Elle ressent, accompagne, éclaire, sans mise en avant excessive, sans surenchère mystique. Elle est juste une femme debout, consciente de sa fragilité et de sa force, qui avance à pas humain. 

Diana redonne également, à travers les écrits sur sa propre vie, une voix aux femmes malades et blessées, en leur permettant de guérir à travers elle-même.

.